Below are many testimonials of our service, please browse them at leisure.
Bonjour, Par ces quelques lignes je vais témoigner de mon expérience chez Catherine et Bilal.
Je vis en Suisse, j’ai 35 ans et Durant les vingt dernières années de ma vie, j’ai consommé à l’excès toutes les drogues possible et imaginable. Durant mon adolescence, la curiosité m’a poussé à tout essayer. Les années passant, je me suis petit à petit détaché des différentes substances utilisées, de toutes à l’exception de l’héroïne! Ce produit s’est immiscé en moi, petit à petit, sournoisement mais surement jusqu’au moment où je dû accepter qu’il ne m’était plus possible de fonctionner normalement dans une journée sans y recourir.
Durant plus de 10 ans, j’ai refusé de reconnaître ma dépendance. J’ai évolué au gré de ma consommation de drogue et de sevrages courts à l’aide de faibles quantités de méthadone qui me permettaient au début de rester abstinent quelques mois, avant que cela ne devienne quelques semaines, quelques jours et que finalement, plus aucun sevrage sans douleurs ne soit possible. En 2009, je me suis résolu à demander de l’aide auprès d’un médecin en Suisse. J’ai quitté mon lieu de vie pour m’installer loin de toutes fréquentations susceptibles de me rappeler ma dépendance et j’ai accepté d’entamer une cure de méthadone visant à stabiliser ma consommation, à libérer mon esprit du soucis de toujours être approvisionné pour ne point souffrir et à m’éloigner du milieu auquel je souhaitais échapper.
Au début, force est de constater que la méthadone a joué son rôle. J’ai pu stabiliser ma consommation, assainir mes finances, travailler quotidiennement sans avoir à m’inquiéter de détenir la poudre de perlimpinpin qui me permettait de tenir. J’étais heureux, je pensais que je pourrais petit à petit réduire mes prises de méthadone et laisser derrière moi ce passage de ma vie. Malheureusement, je me suis bien vite aperçu que les médecins étaient contre toute réduction des dosages, m’affirmant que cela entrainerait un risqué de rechute important. Après une tentative de baisse progressive de 80 mg à 28 mg, je suis retourné, dans un moment de faiblesse, à l’héroïne. Force était de constater que les médecins avaient raisons, je ne pouvais pas me débarrasser du produit tel que je l’espérais, tel qu’ils me l’avaient assuré lorsque j’étais venu les voir… J’étais pris au piège d’une cage plus confortable que la précédente mais au barreaux plus épais. J’avais l’impression de m’être fait avoir, d’avoir troqué un borgne contre un aveugle, d’avoir gagné en capacité de fonctionnement mais d’avoir dû concéder en échange à m’éloigner de la liberté à laquelle j’aspirais.
J’ai passé ainsi 5 ans. Cinq longues années à ne plus dépendre de mon dealer mais de mon pharmacien, à ne plus engraisser les mafias mais les porcs de l’industrie pharmaceutique dont la seule qualité que je leur reconnaisse est leur fiabilité pour répondre toujours présent avec un produit de qualité constante. Evidemment, cela a facilité ma vie, évidemment cela m’a permis de conserver le secret sur ma dépendance auprès de mon travail, évidemment cela m’a permis de donner l’illusion d’avoir une vie “normale” mais cette illusion, je ne pouvais la donner qu’aux autres car vis-à-vis de moi-même, je n’avais que troquer une addiction pour une autre, un marché noir pour un marché régulé, un dealer pour un pharmacien.
Aujourd’hui, je ne regrette pas d’être passé par la méthadone même si celle-ci aura été très difficile à lâcher, vraisemblablement bien plus difficile que l’aurait été l’héroïne. Je ne la regrette pas car ma vie sous héroïne était infernale. Je n’ai jamais appartenu à ces toxicomanes qui, ayant accepté leur sort, ont lâché prise avec la réalité, avec la société, avec le monde des personnes sobres. J’étais marié, j’occupais une place de directeur financier dans l’industrie, jamais mes parents, frères ou sœurs n’ont su que je faisais face à une telle addiction et cela malgré des professionnel de la santé dans ma famille. J’ai su faire en sorte de ne pas me mettre dans une situation financière périlleuse même si compte tenu de mon revenu, je vivais extrêmement modestement (tout partait pour payer ma consommation de drogue). Tant dans ma vie sociale avouée que dans ma vie la plus sombre, jamais je n’ai trahis mes valeurs pour obtenir de l’argent. Mais que cela m’a couté, quelle organisation fallait-il mettre en place pour maintenir l’illusion tout en satisfaisant mes besoins, quelle énergie dépensée à tricher avec les autres et avec moi-même, que de mensonges, que d’argent dépensé, que d’années sacrifiées… Et ne nous leurrons pas, si j’ai pu cacher ma réalité à mon entourage, ma femme ne tarda pas à comprendre que je vomissais trop souvent, que je m’absentait trop fréquemment, que nos fins de mois étaient financièrement trop difficiles vis-à-vis de ce que nous gagnons et elle ne tarda pas à me quitter, à demander le divorce non pas parce que je consommais de la drogue mais parce que je l’avais trahie en lui mentant, en la laissant m’épouser tout en lui cachant cette facette de moi,..
J’ai mis 10 ans à la reconquérir et sans la méthadone qui, au-delà de me stabiliser, représentait aussi l’acceptation de mon problème, je pense qu’aujourd’hui, je souffrirais encore de l’absence de l’être que j’ai le plus aimé sur cette terre et que pourtant j’ai aussi le plus fait souffrir… Malheureusement, l’euphorie du moment est vite retombée. La méthadone n’était pas la solution, juste une béquille pour un boiteux. J’ai rapidement vu cette béquille comme un boulet, un boulet dont je ne savais plus comment me débarrasser. Et lorsqu’on se sent pris au piège, comment rester heureux, comment se tourner vers l’avenir, comment s’assurer qu’on pourra rendre heureuse la personne à qui l’on tient?
Le hasard fit qu’à cette période de ma vie, un soir, devant la télé, regardant une série de seconde zone, j’entendis parler pour la première fois de l’ibogaïne. Dans cette série policière, l’iboga était présenté comme une plante miracle capable de remettre le cerveau dans son état initial, capable de guérir n’importe quel toxicomane de n’importe quelle addiction… Je n’osais évidemment y croire mais cela m’amena à faire des recherche sur cette plante. Peu crédule, j’ai pris presque une année à me décider, encourager par le souhait de me sortir définitivement de ma dépendance et échaudé par des récits angoissants de morts accidentelles dans des conditions inexpliquées.
Après de longues recherches, après avoir pesé le pour et le contre, après avoir étudié les différents lieux où il était possible d’obtenir ce traitement, je suis arrivé à la conclusion que Catherine et Bilal devaient être les personnes les plus adéquates pour m’accompagner dans cette aventure. J’ai pris contact avec différents centres, différentes personnes, j’ai eu des contacts téléphoniques avec plusieurs fournisseurs d’iboga mais mon feeling, mon sentiment profond allait pour Bilal et Catherine! J’ai donc pris trois semaines de vacances Durant l’été et je me suis décidé à me rendre chez eux pour vivre cette expérience unique qui se voulait par ailleurs être ma dernière chance de m’en sortir, J’ai scrupuleusement suivi les indications données par Bilal.
J’ai réduit ma prise de méthadone au maximum, passant de 50mg quotient à 30mg en 15 jours. Je suis arrivé chez eux un samedi, une date que je n’oublierai jamais, le samedi 19.07.2014. Naïf, je pensais me guérir et vivre une expérience sympathique proche du lsd. Je suis donc parti confiant, me disant que dans le meilleur des cas je serais soigné et que dans le pire des cas, je vivrais un trip exceptionnel. Après avoir survécu à plusieurs jours de Datura, je m’estimais prêt à tout supporter.
Bilal est venu me chercher à l’aéroport de Valencia. Sur le chemin, nous avons discuté un peu de l’iboga est j’ai rapidement compris que cela n’allait pas être une partie de plaisir. Cependant, j’étais rassuré de par la certitude dont il faisait preuve lorsqu’il m’affirmait que je repartirai de chez lui clean et sans plus aucun besoin de méthadone.
A notre arrivée à la maison, Catherine et Kali, leur fille, nous attendait sur le pas de la porte. Après les présentations, Catherine m a expliqué comment les choses allaient se passer. En premier lieu, ils allaient me donner une faible dose d’iboga pour s’assurer que je ne ferais pas d’allergie. Ensuite, si tout se passait bien, ils me donneraient une première forte dose. En principe, avec la méthadone, je devais avoir besoin de 2 fortes doses mais dans certains rares cas, une seule dose pouvait suffire. Nous devions donc essayer pour voir. A ce moment, j’étais prêt à prendre 2 doses á quelques jours d’intervalle. J’étais prêt à tout pourvu que cela fonctionne!
J’ai donc pris la première dose et j’ai été m’allonger. Bilal m’a expliqué qu’avec l’iboga, je ne supporterai plus la lumière du jour et que je ne pourrai plus me lever. L’effet s’est rapidement fait ressentir. J’aurais dû souffrir du manque de méthadone mais il n’en était rien. J’avais des pertes d’équilibre, de très légères distorsions visuelles, bref rien de bien méchant et surtout, je n’étais pas malade alors que nous approchions de la fin de l’après-midi et que je n’avais pas eu de méthadone ce jour-là. Une fois l’absence d’allergie confirmée, Bilal est venu me voir et m’a demandé de prendre 8 ou 9 fois plus que la dose test qui, bien que ne me faisant pas un effet incroyable était malgré tout déjà puissante. J’ai avalé les gélules présentées sans réfléchir.
Bilal m’a demandé de me coucher sur le dos et de ne bouger sous aucun prétexte. Il a mis une bassine sous mon lit et m’a dit que si je devais vomir, je devais taper avec le bras contre le mur pour qu’il vienne mais ne surtout pas bouger. Catherine nous a rejoint. Elle s’est assise sur le lit en face et m’a dit : « tu vas avoir l’impression de mourir mais ne t’inquiète pas, tu ne mourras pas » ! J’avoue qu’à cet instant précis, je me suis inquiéter de ce qui allait m’arriver… Bilal m’amena un peu de banane sensée permettre à l’iboga d’agir plus vite.
Je ne saurais dire si c’était 5 minutes, 10 minutes ou un quart d’heure plus tard mais d’un coup, tout mon corps se mit à vibrer, j’avais l’impression d’avoir un moteur à explosion dans la tête, une chaleur intense pris mon estomac et, le temps que je comprenne que j’allais vomir, que je tape contre le mur et que Bilal arrive, j’avais déjà souillé le sol de la chambre. Bilal, encore désolé pour ce nettoyage imposé ! Pour vomir, j’ai dû levé la tête et à cet instant précis, je compris pourquoi on m’avait dit de ne bouger sous aucun prétexte ! Avancer sa tête de 1 cm donnait l’impression de déplacer son corps à la vitesse de la lumière sur plusieurs mettre ne faisant qu’accentuer l’envie de vomir… Et ce bourdonnement, si puissant… Bilal nettoya le sol, il me nettoya les mains tel qu’il le put et me réinstalla sur le dos en me demandant de ne plus bouger !
A partir de ce moment, je ne peux plus décrire les sensations vécues. Je pourrais écrire un livre entier pour tenter d’expliquer ce que l’on ressent lorsque les visions nous prennent à une vitesse folle, avec une intensité indéfinissable, je pourrais vous dire que j’avais l’impression que l’iboga déplaçait tout dans mon cerveau, mes souvenir les plus anciens, des visions du futur, que chaque bribe de mon cerveau était déplacé et que systématiquement, l’impression de les voir être remise à leur place, comme si l’on rangeait mes pensées, mes neurones, mes sentiments… Bref, quoi que j’écrive, seul ceux qui le vivront le comprendront, dont inutile de m’étaler. Je n’ajouterai qu’une seule chose. Je me suis vu âgé, en bonne santé et heureux ! Et cette image, peu importe ce qu’elle est, une projection de mes espoirs, une vision du futur, une aberration créée par mon cerveau, cette image m’a permis de traverser tant bien que mal tous les moments difficiles qui s’en sont suivis.
Car une fois cette folle chevauchée de l’esprit dont la durée est d’approximativement 5 à 6 heures, durée qui sur le moment semble interminable et qui, une fois terminée, semble n’avoir été qu’un instant, après ce moment vient l’éternelle descente. Une descente au cours de laquelle vous ne souhaitez qu’une seule chose, que ça s’arrête, pouvoir dormir, une descente au cours de laquelle vous voyez le jour se lever une première fois, la nuit se coucher, le soleil apparaître pour une seconde fois. Durant tout ce temps, vous n’attendez que de pouvoir enfin vous retrouver vous-même, chaque minute semble être des heures, chaque heure des journées, et chaque jours des siècle. De toutes les produits que j’ai consommé, la descente d’iboga est sans conteste la pire de toute, c’est une descente à laquelle personne ne peut être préparé, c’est une descente sans fin dans un trou intemporel, une horreur !
Durant cette première expérience, en début de descente, mes jambes ont commencé à me faire souffrir. C’était le signe qu’une seconde prise d’iboga serait nécessaire pour chasser la méthadone de mon corps. Lorsque Catherine me livra son diagnostic, ma réaction fut sans équivoque, il était exclu que je revive cela, tant pis pour mes douleurs, tant pis pour mon addiction, mais surtout, ne me redonner pas d’iboga. Cela prouve une chose, l’iboga n’est pas ludique ! Seul une personne n’ayant jamais fait cette expérience peut s’en réjouir.
Durant une semaine, Bilal me soigna avec de faibles doses d’iboga quotidienne. Ces doses étaient trop faibles pour avoir un effet psychédélique mais elles me permettaient de me sentir plus confortable. Après quelques jours, une fois le traumatisme passé, je reconnu qu’il valait mieux vivre deux fois cette expérience plutôt que de rester dépendant. J’acceptais donc de reprendre une seconde dose qui, par chance, fut plus faible compte tenu de l’accumulation d’iboga ingéré durant la semaine.
La seconde dose fut plus douce, les visions plus belles et plus agréables, mes maux de jambes disparurent et en-dehors de cette affreuse décente de 30 heures, je dois reconnaître qu’il m’a été plus facile de gérer cette deuxième expérience. Après avoir finalement réussi à dormir, je n’avais plus de douleurs. Seule un fatigue extrême persistant mais jours après jours, je me sentais mieux, je revenais à un cycle normal et surtout, j’avais le plaisir de constater que je n’avais plus besoin d’aucun produit pour fonctionner normalement.
Non seulement l’iboga m’a permis de me libérer des opiacés mais elle m’a aussi permis d’arrêter de fumer. Un bonus de qualité dira-t-on. Aujourd’hui, cela fait 3 semaines et demie que je vis sans tabac et sans opiacés. Non seulement je me sens bien physiquement mais en plus, je n’ai pas à faire face à des envies, des tentations, je me sens libre ! Je surprends les médecins, les pharmaciens, personne ne s’explique comment j’ai pu me sevrer si vite et aucun d’entre eux ne connaît l’iboga. Mon pharmacien a montré un vif intérêt pour cette plante tout en m’avouant qu’avec un tel effet, il devait y avoir beaucoup trop d’industriel à qui il profite que cet arbre reste inconnu.
Pour terminer ce témoignage, j’aimerais insister sur la qualité de la prise en charge de Catherine et Bilal, sur leur gentillesse et sur tout l’amour qu’ils mettent à vous guérir. Bilal et Catherine est à mon humble avis, sans conteste, les meilleurs accompagnateurs qu’on puisse espérer pour traverser cette expérience. Ils vous comprennent sans vous juger, savent répondre présent lorsque vous en avez besoin tout en vous laissant l’espace nécessaire à supporter les sensations désagréables que vous vivez, je les ai trouvé exceptionnel !
Aujourd’hui, bien que les ayant quitté depuis plus de 10 jours, ils ont régulièrement repris de mes nouvelles, se sont réellement inquiéter de mon sort et j’avoue que de lire leurs messages réchauffent mon cœur. Nous ne nous connaissons pas très bien mais je les considère comme de véritables amis. Ils ont su être là pour moi lorsque j’en avais besoin et ils ont surtout su être là pour moi comme j’en avais besoin ! Je ne les remercierai jamais assez pour ce qu’ils m’ont apporté.
Le meilleur que je puisse souhaiter aux personnes qui traversent ce que j’ai traversé, c’est de croiser le chemin de Bilal et de Catherine.
Merci à eux, courage à vous !
Bilal Hello, Hello Catherine
How are you?
Today I returned to work. I feel good, I feel free! I‘m so happy … This morning I went to see the pharmacist who gave me methadone. I explained to him why he had not seen me for three weeks and I told him about iboga.
It is a pharmacist but it is for alternative medicine. He did not know iboga and asked me lots of questions. After I had told him about my experience, he said that this should please a lot of people that this plant is not known. He told me clearly that the drug industry was horrible and that we should not be surprised that she prefers to keep the sick people.
In short, it was great! He encouraged me to stay and to take nothing for chemical and he told me he would research the Iboga.
I’ll still see the doctor this week to tell him what I think of his shit methadone. I discovered 60 mg in a cupboard at home. I am delighted to bring him and to tell him that even if that took me a week, I have not had once wanted to take!
Amicaliement
Lucas
Hi, my name is Clem, please forgive my English, I’m a French man living in the South of France !
Before going to Harambe, I was experiencing hard times and I had to make up my mind to go forward…
Iboga came to me in very special and beautiful way…
I remembered a good mate who did this experience some time ago so I decided myself to enquire about Iboga.
I deeply felt the need to do something cause I realized I could not continue like that and I start reading a lot about Iboga.
First, like you, I was not so confident about doing such a trip, so I had to know more about Iboga before doing it.
Relying on such testimonials, I discovered this profound and extraordinary method to free oneself from inner troubles and to find inner peace more easily.
I first saw the website of Harambe and compared to other places and I saw on pictures, that one gave me a very good feeling.
One month after I contacted Bilal by e-mail, he gave me confidence in such a process, I felt at ease and I knew it’s the place!!!
One month later, after observing the specific advices and diet, (really important to prepare the experience) I arrived in Spain after driving ten hours.
As soon as I arrived, I felt the very friendly and welcoming atmosphere in their own family, like home. We spent time speaking and preparing the session in a very cool way!
To speak about « The Experience » …
I won’t describe it with details because words aren’t not enough and you’ll have to live it yourself.
First, let’s say it’s deeply meaningful. After you swallow the capsules, you feel the natural medicine get through your whole body and the point is that you must admit « Stop trying to control ! ». Because you can’t.
It doesn’t mean that you’re lost but your ordinary conscience escapes to your mind, it could be really terrifying for someone. Take it easy!!!
It’s a very very long journey, hours seem like days, days like weeks, so don’t panic and take your time, you’ll be lucky to explore your brain for a week.
It won’t be necessary to return too quickly to your daily perceptions and to your sense of « reality », here is the point for me.
This experience is really rich, so take your time again to explore it to the fullest. Because after the trip you will have flashbacks.
The next three days weren’t not so comfortable, you can’t sleep well, it was the time to find a new balance, to get back to common reality with a new wealth.
Now I have a new freshness, with good vibes, pure feeling without fears, mental addictions and obsessions.
I would simply say a certain wisdom and lightness. « c’est trop bon ! ».
Of course It’s not like going to Disneyland, it is much more valuable and if you feel ready for a very strong experience, you have to go!
I really want to thank Cathy, Bilal and their children for their kindness, for all these glad and cool moments we spent together.
We liked sharing music, good talks about Life, Man’s path and simple things.
They changed my life… Thank you very very much…
Have a Groovy and a sweet life…
Clem
Jeg har hatt problemer med negative tanker, dårlig selvtillit, vrangforestillinger og depresjon. Jeg har tidligere brukt ulike rusmidler.
Jeg har prøvd ulike former for tradisjonell terapi. Jeg har blitt gitt psykiatriske medisiner av ulike typer, men disse har i det lange løpet bare forverret sinnet mitt. Lenge har jeg hørt om bruk av psykadelika for ulike psykiske problemer. Jeg bestemte meg for å gå for to doser med Ibogain.
Jeg ble møtt med empati og respekt av Cathrine og Bilal. Jeg snakket med dem om min livssituasjon og de ga meg veldig gode tips for hva jeg burde fokuserer på eller gjøre videre i livet mitt.
Jeg ble gitt en sterk dose. Etter en stund merket jeg endringer i tankemønsteret mitt. Jeg var i en slags drømmeverden der tiden ikke fantes og jeg hallusinerte. Jeg ble følelsesladd og gråt av glede flere ganger. Etter at «drømmen» sluttet var jeg tankeløs.
Tre-fire dager senere ble jeg gikk en dose nr. to. Denne gangen opplevde jeg noe spessielt. Det føltes ut som om hjernen min endret plassering, som om den satt seg på riktig plass. Etter den andre dosen føltes sinnet mitt lettere. Trangen til bruk av rusmidler, også tobakk, var mer eller mindre helt borte.
Opplevelsen er helt klart til å anbefale. Per i dag, to uker senere, har jeg det betraktelig lettere med destruktive/negative tanker og jeg føler at selvtilliten min er sterkere enn før. Jeg vurderer å dra tilbake til Bilal og Cathrine i fremtiden for å holde denne flotte endringen ved like.
I have had problems with negative thoughts, poor self-esteem, delusions and depression. I have previously used various drugs.
I have tried various forms of traditional therapy. I have been given psychiatric drugs of various kinds, but these have in the long run only worsened my mind. Long have I heard about using psykadelika for various psychological problems. I decided to go for two doses of Ibogaine.
I was greeted with empathy and respect of Cathrine and Bilal. I talked to them about my situation and they gave me very good tips for what I should focus on or do next in my life. I was given a strong dose. After a while I noticed changes in my thinking pattern. I was in a sort of dream world where time does not exist and I hallucinated. I became emotional and cried for joy several times. After the “dream” ended I was thoughtless.
Three or four days later I went a dose number. Two. This time I experienced something appreciated particularly. It felt as if my brain changed location, as if it set itself in the right place. After the second dose felt my mind easier. The urge to use drugs, tobacco, was more or less completely lost.
The experience is definitely going to recommend. As of today, two weeks later, I have it considerably easier with destructive / negative thoughts and I feel that my self-esteem is stronger than before.
I’m considering going back to Bilal and Cathrine in the future to keep this great change by equal.
Jørn
I've been struggling with trauma and many mental and emotional blocks. I've hit a wall where I became entirely imprisoned by my mind and couldn't escape it. My days became unbearable and filled with self-inflicted suffering. After therapy, coaching, and working on myself, I needed something beyond the mental sphere, which is why I've taken this leap of faith.
Bilal is very professional at his craft. I've had an easy journey because I followed his instructions before the day of the treatment (medical tests, diet, sleep, preparation, etc.).
It was worth the experience, and I felt like I'd spent two years of therapy in one night. The Iboga won't solve your problems overnight or give you what you want or expect, but it will deliver you exactly what you currently need and show how you can move forward. You still have to do the work and practice the teachings actively and regularly.
Personally, the Iboga cracked my mind open and showed me to my face all my negative thoughts patterns and how I've let them control my life. I could make peace with my major traumas, and I gained a lot of clarity. I realized I am not my thoughts but the awareness of my thoughts, and I can choose to be entertained by them or let them go at will.
Some other learnings seemed very basic and obvious, but there is a difference between understanding them and "getting" them.
I'm far from being transformed, but I'm grateful for this experience. I will come back in a few years when I'm sure I've integrated and practiced all the learnings for going to the next stage.
I would like to share with you my transformative experience. one day, i decided to go and meet myself and I followed the advice of a friend, a brother, to do an Iboga retreat with Bilal. What to say … After more than 2 weeks, convincing changes are here. After so many years of no communication with my parents, I was finally able to express all the things I didn't dare share with them, but with a lot of love and gentleness and above all with forgiveness. And during this process, I realized that thanks to my "journey" to discover who I am, I understood where my fear of abndonment came from, my need to please everyone even to my own peril. I also started to finally look at myself in the mirror and love the image it reflects. I gained confidence in myself and today I only do things that I like and do me good and without thinking that it can offend those around me that I tell them NO. I only surround myself with people who share the same vibs. And above all, I have become much nicer to myself, more attentive to my body and what it really needs at all levels. Besides, I quit smoking, I started to do a little sport, to pay attention to what I eat. In short, to take care of myself. And it's a really good feeling.
I want To tell you a secret, my brain put so many blockages and reinforced concrete protective barriers during all its years that my experience only lasted 6 hours. The fear also of the unknown of my state upon awakening or even not waking up hampered this experience which when I woke up seemed a failure. But after everything I say at the beginning of my story, you understand that it was a great success. If I am telling you this, it is to encourage you to take the plunge, to seize the opportunity to find yourself, to find the answers that you are lacking. Do not be afraid because with bilal you are in very good hands if not the best. He will be there by your side to accompany you on the best trip you can afford to your self.
Have faith in you, you are a treasure and you deserve the best.
I grew up and lived all my life fighting depression, ptsd and addiction. I had a chaotic emotional and personal life. My professional life was a mess for more than 15 years.
I came to Iboga treatment during a phase of reconstruction. I was in therapy for 5 years, engaged in a healthy relationship (but not able to be emotionally stable and present enough) and I was going through a lot of anxiety, avoidance and pain as i still was suffering from depression and addiction regular relapses.
Through the treatment, I only wanted to get rid of the addiction relapses; addiction that I did not succeed to get rid off in the last 25 years.
A friend of mine introduced me to Bilal and after speaking with him I felt reassured and trusted him to go through with the treatment.
Bilal gave me all the information I needed, he listened a lot and gave back expert and relevant feedback.
During the experience, Bilal was constantly present and focused on my safety and well being. He did not rest or sleep in the first 24h and was monitoring my vitals as well as my environment. As part of the treatment, he was not in the room with me but close by and answered and came in the room right away, each time I called him. This made me feel safe and helped me so much during the treatment.
In the weeks and months following the treatment, Bilal was available each time I needed to share what I was experiencing and going through. He helped me understand and accept my perceptions and also clear my doubts or not feel threatened by them.
Going through the treatment gave me much more than I expected.
Not only it helped me to get rid of the unmanageable and irresistible cravings but It made me also much more in touch with and aware of my senses and my emotions.
I feel much more at peace with my self. My anxiety level is in an acceptable and manageable bandwidth. My craving is extremely rare and I have the inner resources to manage it.
My wife is amazed by my recovery and emotional health improvement. My professional life and relations have improved along with my interpersonal skills.
Of course I still have a long road ahead. I will always have to monitor myself to avoid being overwhelmed by anxiety or cravings.
I have a marriage to build and nurture, a family to take good care of, but going through the treatment made me feel more confident that I will achieve these goals and live a healthy life, having the resources to fight for my health and loved ones each time I will have to.
Idriss
We're here to help you embark on your journey towards healing and personal growth.
Whether you have questions about our retreat, want to know more about our plant healing experiences, or are ready to book your stay, we'd love to hear from you!