Bonjour, je désire partager mon expérience chez Harambe. Une petite histoire courte, un résumé du pourquoi de mes 2 séjours a Harambe. Alors voilà:

Dans ma vingtaine j’ai eu une expérience, histoire d’amour avec les Opiacés. J’ai également vécu ce qu’on appel en anglais un “Cold Turkey” ou Sevrage brutal. Ceux et celle qui l’ont vécu sauront. Alors me voilà 20 ans plus tard, avec des douleurs chronique et une prespription pour des opiacés pour aider aux douleurs. Durant 1 an je prend tel que préscrit. Me connaissant et sachant que j’adore les opiacés je suis heureuse de voir que je peux me controler. Par contre Il y a 1 an ou presque j’ai commencé a en prendre pour avoir un high. Et le tout a escalader jusqu’a une grande dose quotidienne qu in’était plus viable ou même agréable. J’ai esseyé de diminuer ma dose a chaque semaine pour pouvoir ainsi arrêter sans effet secondaire mais j’en était incapable. Au fin fond de moi je savais que je ne pouvais y arriver.

Et je ne voulais absolument pas repasser par un SEVRAGE BRUTAL. Je recherchais sur le net des trucs pour aider, je lisais, je m’informais mais je continuais aussi a me droguer. C’est lorsque je suis tombé sans hazard, car selon moi le hazard n’existe pas, sur un article paralnt de l’iboga. J’ai été complètement révoltée de connaitre l’iboga. Révoltée par ce que l’iboga existait déjà lors de mon “Cold Turkey” il y a de cela plus de 20 ans. Et j’aurais pu m’éviter d’énormes souffrances…Bref révoltée également puisque c’est maintenue en secret, selon moi. Et ça peu, ça aide énormément. C’est miraculeux quoi!

Donc pour moi l’idée de cesser les opiacés sans souffrance m’a emmener a lire un peu sur L’Iboga. Je ne voulais pas me “sur informer” Je croyais et je continue de croire qu’il n’est pas bon de trop s’informer. Et en m’informant je suis “tombée” sur Harambe Detox Center. J’ai répondu au questionnaire en toute honnêteté et j’ai attendu une réponse. Je n’ai presque rien lu de leur page, que quelques histoires de gens qui sont allé a Harambe et aussi un peu sur les effets de l’Iboga. Je n’ai pas attendu longtemps. Catherine a répondue très rapidement et s’est communiqué avec moi par téléphone. J’étais dans une phase de grande anxiété. Je voulais cesser les opiacés. Je devais attendre car les circonstances n’étaient pas de mon côté. J’avais peur aussi.

Catherine a été très patiente avec moi car dû a mon niveau élevé d’anxiété je lui écrivais beaucoup de courriel. Et toujours elle me répondait. Et je lui en serai a jamais reconnaissante par ce que ce que je vivais était hyper désagréable et difficile. Donc je suis entrée en contact avec Catherine au debut d’octobre 2016 et le 18 novembre 2016 j’arrivais a Valence, en síndrome d’abstinence. Catherine est venue me chercher a l’aéroport. Cela fesait plus de 24 heures depuis ma dernière dose et j’étais mal en point. J’avais si hâte d’en finir. J’avais décidé de confier, de me confier 100% a Catherine. Je ne connaissais pas encore Bilal puisque j’avais été en contact qu’avec elle. Et elle m’avait suggérée a plusieurs reprises de faire 2 doses d’Iboga, contenu mon passé avec les opiacés et de ma forte consommation. Mais je n’ai pas écouté. J’ai fait qu’une dose d’Iboga.

En arrivant a Harambe Bilal avait décidé de commencer dès mon arrivée. Étant déjà avancée dans le sevrage à mon arrivée, j’avais si froid, il m’a assise a côté du feu. Je me souviendrai toujours de ce moment. Très attentif dès que j’ai mis les pieds dans leur maison. Ensuite il m’a donné une première dose, le test dose, pour arrêter les symptomes. Une trentaine de minutes plus tard les symptomes avaient complètement cèssés. Miracle.

Prise de la dose complète, aie été m’étendre dans mon lit en attente de l’effet de l’Iboga. J’etais prête et je lui disait a Iboga: Viens, je t’attend, je suis prête, aide moi, guérie-moi. Catherine, étant très attentive, est venue se coucher dans un autre lit pour s’assurer que tout allait bien avec moi.

Je ne sais pas combien de temps il s’est passé jusqu’à ce que l’Iboga entre totalement en moi mais je me souviens très bien de tout. J’y ai été complètement sous l’effet durant 8 a 10 heures. Ensuite, la suite n’est pas des plus agréable, surtout lorsque tu laisses les opiacés. Ton corps en entier a mal partout. Je ne touvais aucune position confortable dans le lit. J’avais mal jusqu’aux ongles des pieds…Et tu ne peux bouger, même si tu veux, tu ne peux bouger. En fait j’avais pas trop envie de bouger, j’avais envie d’arrêter de trop penser, de trop me jugar, de trop tout. Et tout d’un coup, le silence total, le calme après une immense tempête…Un autre miracle. Miracle 1: Aucun symptome d’abstinence sauf des frissons presque continuel appelé aussi PAWS. Miracle 2: Plus aucunes pensées auto-destructives, niette, rien, nothing. Après plus de 30 ans de “over thinking”, quel PAIX ÉNORME!!! Aucune anxiété, rien. Miracle. Pour moi c’est vraiment un miracle, plusieurs petits miracles.

L’Iboga n’est pas un voyage facile, loin de là mais cela en vaut le coup 100 fois. J’avais décidé de faire l’Iboga pour m’éviter des moments très désagréables et aussi au niveau spirituel j’étais convaincue de son effet sur la psyché humaine et j’en avais besoin. Puisque mon envie de ne pas être en vie me hantait depuis que j’avais 11 ans. Maintenant je n’ai plus ses pensées n’y même cette envie de ne plus être. Et que ça en vaut le coup!

Comme je mentionne que le hazard n’existe pas, pour moi, je ne sais pas pourquoi je suis “tombé” sur Harambe, Catherine et Bilal mais je sais que recommende Harambe a 100%. Ils sont hyper attentifs a tout nos besoins, en tout temps et tout moments. Très respectueux du momento de chacun. Toujours en train de demandé si tout est ok, si on a soif, faim, comment on se sent. La nourriture est excelente, recommencé a manger lorsque l’envie se fait est un plaisir immense. Pour moi cela fut. Leur alimentation est très bonne et l’alimentation est la base de tout. C’était en novembre et leur jardín est en repos mais l’été ce qu’ils cultivent doit être excellent! Ils y avait 2 autres personnes en même temps que moi et chaue personne y va pour un thème différent mais Catherine et Bilal ne Font pas de différence, pas de jugement, aucun. Ils traitent les gens d’égal a égal. Ils ont beaucoup d’expériences, d’histoires a conter. Je crois fortement qu’ils ont une vocation. Ils aident beaucoup de gens. Peu importe leur passé, leur présent. Ils peuvent faire face a quelle que soit la situation. Ils partagent leur quotidien avec les patients qui vont a Harambe, ouvre la porte de leur maison, nous laisse entrer dans leur vie, dans la vie de leur 2 précieux enfants. Étant mère moi-même, selon moi, ce qu’ils accomplissent jour après jour, avec leur famille, est tout simplement une envie d’aider son prochain. Puisque je crois fermement que nous sommes ici pour s’aider les uns et les autres, Catherine et Bilal ont trouvé leur vocation et ils la réalise a chaque jour. Ce n’est pas seulement en donnant le traitement aux gens, c’est au quotidien, c’est en parlant a ceux qui ont des questions, c’est en gestionnant tout et chacun qui veulent aller a Harambe…Bref je pourrais continuer a écrire longuement. Pour moi c’est ma vérité.

Ohh et je me dois de mentionner que j’y suis retourné en février et cette fois-ci pas pour un sevrage puisque je suis clean, mais plutot pcq je ressentais le besoin de refaire l’expérience sans aucune drogue en moi, sans que l’Iboga doivent se battre contre une substance. De plus pcq Catherine m’avait fortement recommendé de faire un double dose la première fois. Et cette fois-ci j’ai fait la double dose. Le voyage n’est pas facile mais a niveau corporel beaucoup plus. Pas de douleur comme la première fois. Ah aussi si vous faite l’iboga s’est pour prendre soin de vous, prennez bien soin et ayez des massages, cela en vaut la chandelle. Ça aide énormément. Francis a des mains magiques et moi j’ai ressentie quelle aime faire du bien aux gens. A Harambe je me suis sentie en sécurité, acceuillie, on a prit soin de moi sans me connaitre, sans jugement.

J’en serai éternellement reconnaissante. Je vous remercie du fond du coeur a vous 2! Catherine et Bilal.

Merci!