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Harambe Ibogaine Detox Retreat Centre - Testimonials

Below are many testimonials of our service, please browse them at leisure.

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Ben, London (Testimonial)

The first thing you have to understand about ibogaine is that it isn’t supposed to be a walk in the park, and while it will take away your withdrawals pretty much straight away, there’s still a lot of work you have to do yourself if you really want to get clean. Expecting to turn up at Harambe and take a magic pill to sort out all your problems while you enjoy a week of luxury is not the right attitude, so seriously, take notice of what Cathy and Bilal tell you, because they will give you what you need – even if it isn’t what you want.

Their house is the perfect place to take ibogaine if you are really serious about getting off drugs. There’s no Jacuzzi, swimming pool or five-star catering, and it’s completely no frills, which is exactly how this sort of thing needs to be done, because ibogaine forces you to face up to your demons and spend some time taking a good hard look at yourself. The less distractions, the better, and while it may be a harrowing and uncomfortable experience, there’s no way to get clean without going through this. In fact, the reason so many of us stay on drugs is because we keep avoiding our real issues and are too scared to face up to ourselves.

At Harambe, Cathy and Bilal won’t let you run away from yourself, and will force you to spend as much time as possible alone with yourself – so don’t fight them when tell you to go back to your room and lie down. Ibogaine is an amazing tool to help you achieve this, as not only does it make your withdrawals disappear, but it also brings you into contact with all the suppressed thoughts and feelings that you continually bury in your subconscious and try not to acknowledge. However, ibogaine alone can’t force you to face these suppressed thoughts, and lots of people who come to Harambe seem not completely misunderstand what they have to do. You are here to climb a mountain, not to have a nice time. I’ve seen people come here and complain about the fact that there’s nothing to do or that the facilities aren’t luxurious enough for their liking. But the truth is these are just excuses. Yes, the days after taking ibogaine are very uncomfortable. You won’t be able to sleep, you’ll feel exhausted, and you’ll feel hungry but won’t be able to eat.

It’s a weird feeling, but if you can’t handle a little bit of suffering then you probably aren’t ready to get off drugs – after all, the reason most of us get addicted to drugs is because they help us to block out the pain and suffering, we experience in our lives, rather than face it. While you’re here, Bilal and Cathy will give you tough love. Don’t ask them for junk food when you’re feeling a little uncomfortable, because they won’t give it to you – and you should be thankful to them for that. After all, ibogaine has just purged all the toxins from your body, so why do you want to start filling it with shit again? Stick to the healthy diet they give you, and man up and face yourself alone in the bedroom until they tell you it’s time to come out.

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Remo Testimonial - Switzerland

I came because I have some issues that I wanted to resolve.

I saw many images from my childhood which were serene and beautiful. I also saw some traumas I had suffered like a car crash, but on the whole it was positive.

After the experience, I feel clear, very free, and happy. I have no negative feelings in the minds. I feel only love.

Just happy.

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Lucas, Switzerland (Testimonial)

Bonjour, Par ces quelques lignes je vais témoigner de mon expérience chez Catherine et Bilal.

Je vis en Suisse, j’ai 35 ans et Durant les vingt dernières années de ma vie, j’ai consommé à l’excès toutes les drogues possible et imaginable. Durant mon adolescence, la curiosité m’a poussé à tout essayer. Les années passant, je me suis petit à petit détaché des différentes substances utilisées, de toutes à l’exception de l’héroïne! Ce produit s’est immiscé en moi, petit à petit, sournoisement mais surement jusqu’au moment où je dû accepter qu’il ne m’était plus possible de fonctionner normalement dans une journée sans y recourir.

Durant plus de 10 ans, j’ai refusé de reconnaître ma dépendance. J’ai évolué au gré de ma consommation de drogue et de sevrages courts à l’aide de faibles quantités de méthadone qui me permettaient au début de rester abstinent quelques mois, avant que cela ne devienne quelques semaines, quelques jours et que finalement, plus aucun sevrage sans douleurs ne soit possible. En 2009, je me suis résolu à demander de l’aide auprès d’un médecin en Suisse. J’ai quitté mon lieu de vie pour m’installer loin de toutes fréquentations susceptibles de me rappeler ma dépendance et j’ai accepté d’entamer une cure de méthadone visant à stabiliser ma consommation, à libérer mon esprit du soucis de toujours être approvisionné pour ne point souffrir et à m’éloigner du milieu auquel je souhaitais échapper.

Au début, force est de constater que la méthadone a joué son rôle. J’ai pu stabiliser ma consommation, assainir mes finances, travailler quotidiennement sans avoir à m’inquiéter de détenir la poudre de perlimpinpin qui me permettait de tenir. J’étais heureux, je pensais que je pourrais petit à petit réduire mes prises de méthadone et laisser derrière moi ce passage de ma vie. Malheureusement, je me suis bien vite aperçu que les médecins étaient contre toute réduction des dosages, m’affirmant que cela entrainerait un risqué de rechute important. Après une tentative de baisse progressive de 80 mg à 28 mg, je suis retourné, dans un moment de faiblesse, à l’héroïne. Force était de constater que les médecins avaient raisons, je ne pouvais pas me débarrasser du produit tel que je l’espérais, tel qu’ils me l’avaient assuré lorsque j’étais venu les voir… J’étais pris au piège d’une cage plus confortable que la précédente mais au barreaux plus épais. J’avais l’impression de m’être fait avoir, d’avoir troqué un borgne contre un aveugle, d’avoir gagné en capacité de fonctionnement mais d’avoir dû concéder en échange à m’éloigner de la liberté à laquelle j’aspirais.

J’ai passé ainsi 5 ans. Cinq longues années à ne plus dépendre de mon dealer mais de mon pharmacien, à ne plus engraisser les mafias mais les porcs de l’industrie pharmaceutique dont la seule qualité que je leur reconnaisse est leur fiabilité pour répondre toujours présent avec un produit de qualité constante. Evidemment, cela a facilité ma vie, évidemment cela m’a permis de conserver le secret sur ma dépendance auprès de mon travail, évidemment cela m’a permis de donner l’illusion d’avoir une vie “normale” mais cette illusion, je ne pouvais la donner qu’aux autres car vis-à-vis de moi-même, je n’avais que troquer une addiction pour une autre, un marché noir pour un marché régulé, un dealer pour un pharmacien.

Aujourd’hui, je ne regrette pas d’être passé par la méthadone même si celle-ci aura été très difficile à lâcher, vraisemblablement bien plus difficile que l’aurait été l’héroïne. Je ne la regrette pas car ma vie sous héroïne était infernale. Je n’ai jamais appartenu à ces toxicomanes qui, ayant accepté leur sort, ont lâché prise avec la réalité, avec la société, avec le monde des personnes sobres. J’étais marié, j’occupais une place de directeur financier dans l’industrie, jamais mes parents, frères ou sœurs n’ont su que je faisais face à une telle addiction et cela malgré des professionnel de la santé dans ma famille. J’ai su faire en sorte de ne pas me mettre dans une situation financière périlleuse même si compte tenu de mon revenu, je vivais extrêmement modestement (tout partait pour payer ma consommation de drogue). Tant dans ma vie sociale avouée que dans ma vie la plus sombre, jamais je n’ai trahis mes valeurs pour obtenir de l’argent. Mais que cela m’a couté, quelle organisation fallait-il mettre en place pour maintenir l’illusion tout en satisfaisant mes besoins, quelle énergie dépensée à tricher avec les autres et avec moi-même, que de mensonges, que d’argent dépensé, que d’années sacrifiées… Et ne nous leurrons pas, si j’ai pu cacher ma réalité à mon entourage, ma femme ne tarda pas à comprendre que je vomissais trop souvent, que je m’absentait trop fréquemment, que nos fins de mois étaient financièrement trop difficiles vis-à-vis de ce que nous gagnons et elle ne tarda pas à me quitter, à demander le divorce non pas parce que je consommais de la drogue mais parce que je l’avais trahie en lui mentant, en la laissant m’épouser tout en lui cachant cette facette de moi,..

J’ai mis 10 ans à la reconquérir et sans la méthadone qui, au-delà de me stabiliser, représentait aussi l’acceptation de mon problème, je pense qu’aujourd’hui, je souffrirais encore de l’absence de l’être que j’ai le plus aimé sur cette terre et que pourtant j’ai aussi le plus fait souffrir… Malheureusement, l’euphorie du moment est vite retombée. La méthadone n’était pas la solution, juste une béquille pour un boiteux. J’ai rapidement vu cette béquille comme un boulet, un boulet dont je ne savais plus comment me débarrasser. Et lorsqu’on se sent pris au piège, comment rester heureux, comment se tourner vers l’avenir, comment s’assurer qu’on pourra rendre heureuse la personne à qui l’on tient?

Le hasard fit qu’à cette période de ma vie, un soir, devant la télé, regardant une série de seconde zone, j’entendis parler pour la première fois de l’ibogaïne. Dans cette série policière, l’iboga était présenté comme une plante miracle capable de remettre le cerveau dans son état initial, capable de guérir n’importe quel toxicomane de n’importe quelle addiction… Je n’osais évidemment y croire mais cela m’amena à faire des recherche sur cette plante. Peu crédule, j’ai pris presque une année à me décider, encourager par le souhait de me sortir définitivement de ma dépendance et échaudé par des récits angoissants de morts accidentelles dans des conditions inexpliquées.

Après de longues recherches, après avoir pesé le pour et le contre, après avoir étudié les différents lieux où il était possible d’obtenir ce traitement, je suis arrivé à la conclusion que Catherine et Bilal devaient être les personnes les plus adéquates pour m’accompagner dans cette aventure. J’ai pris contact avec différents centres, différentes personnes, j’ai eu des contacts téléphoniques avec plusieurs fournisseurs d’iboga mais mon feeling, mon sentiment profond allait pour Bilal et Catherine! J’ai donc pris trois semaines de vacances Durant l’été et je me suis décidé à me rendre chez eux pour vivre cette expérience unique qui se voulait par ailleurs être ma dernière chance de m’en sortir, J’ai scrupuleusement suivi les indications données par Bilal.

J’ai réduit ma prise de méthadone au maximum, passant de 50mg quotient à 30mg en 15 jours. Je suis arrivé chez eux un samedi, une date que je n’oublierai jamais, le samedi 19.07.2014. Naïf, je pensais me guérir et vivre une expérience sympathique proche du lsd. Je suis donc parti confiant, me disant que dans le meilleur des cas je serais soigné et que dans le pire des cas, je vivrais un trip exceptionnel. Après avoir survécu à plusieurs jours de Datura, je m’estimais prêt à tout supporter.

Bilal est venu me chercher à l’aéroport de Valencia. Sur le chemin, nous avons discuté un peu de l’iboga est j’ai rapidement compris que cela n’allait pas être une partie de plaisir. Cependant, j’étais rassuré de par la certitude dont il faisait preuve lorsqu’il m’affirmait que je repartirai de chez lui clean et sans plus aucun besoin de méthadone.

A notre arrivée à la maison, Catherine et Kali, leur fille, nous attendait sur le pas de la porte. Après les présentations, Catherine m a expliqué comment les choses allaient se passer. En premier lieu, ils allaient me donner une faible dose d’iboga pour s’assurer que je ne ferais pas d’allergie. Ensuite, si tout se passait bien, ils me donneraient une première forte dose. En principe, avec la méthadone, je devais avoir besoin de 2 fortes doses mais dans certains rares cas, une seule dose pouvait suffire. Nous devions donc essayer pour voir. A ce moment, j’étais prêt à prendre 2 doses á quelques jours d’intervalle. J’étais prêt à tout pourvu que cela fonctionne!

J’ai donc pris la première dose et j’ai été m’allonger. Bilal m’a expliqué qu’avec l’iboga, je ne supporterai plus la lumière du jour et que je ne pourrai plus me lever. L’effet s’est rapidement fait ressentir. J’aurais dû souffrir du manque de méthadone mais il n’en était rien. J’avais des pertes d’équilibre, de très légères distorsions visuelles, bref rien de bien méchant et surtout, je n’étais pas malade alors que nous approchions de la fin de l’après-midi et que je n’avais pas eu de méthadone ce jour-là. Une fois l’absence d’allergie confirmée, Bilal est venu me voir et m’a demandé de prendre 8 ou 9 fois plus que la dose test qui, bien que ne me faisant pas un effet incroyable était malgré tout déjà puissante. J’ai avalé les gélules présentées sans réfléchir.

Bilal m’a demandé de me coucher sur le dos et de ne bouger sous aucun prétexte. Il a mis une bassine sous mon lit et m’a dit que si je devais vomir, je devais taper avec le bras contre le mur pour qu’il vienne mais ne surtout pas bouger. Catherine nous a rejoint. Elle s’est assise sur le lit en face et m’a dit : « tu vas avoir l’impression de mourir mais ne t’inquiète pas, tu ne mourras pas » ! J’avoue qu’à cet instant précis, je me suis inquiéter de ce qui allait m’arriver… Bilal m’amena un peu de banane sensée permettre à l’iboga d’agir plus vite.

Je ne saurais dire si c’était 5 minutes, 10 minutes ou un quart d’heure plus tard mais d’un coup, tout mon corps se mit à vibrer, j’avais l’impression d’avoir un moteur à explosion dans la tête, une chaleur intense pris mon estomac et, le temps que je comprenne que j’allais vomir, que je tape contre le mur et que Bilal arrive, j’avais déjà souillé le sol de la chambre. Bilal, encore désolé pour ce nettoyage imposé ! Pour vomir, j’ai dû levé la tête et à cet instant précis, je compris pourquoi on m’avait dit de ne bouger sous aucun prétexte ! Avancer sa tête de 1 cm donnait l’impression de déplacer son corps à la vitesse de la lumière sur plusieurs mettre ne faisant qu’accentuer l’envie de vomir… Et ce bourdonnement, si puissant… Bilal nettoya le sol, il me nettoya les mains tel qu’il le put et me réinstalla sur le dos en me demandant de ne plus bouger !

A partir de ce moment, je ne peux plus décrire les sensations vécues. Je pourrais écrire un livre entier pour tenter d’expliquer ce que l’on ressent lorsque les visions nous prennent à une vitesse folle, avec une intensité indéfinissable, je pourrais vous dire que j’avais l’impression que l’iboga déplaçait tout dans mon cerveau, mes souvenir les plus anciens, des visions du futur, que chaque bribe de mon cerveau était déplacé et que systématiquement, l’impression de les voir être remise à leur place, comme si l’on rangeait mes pensées, mes neurones, mes sentiments… Bref, quoi que j’écrive, seul ceux qui le vivront le comprendront, dont inutile de m’étaler. Je n’ajouterai qu’une seule chose. Je me suis vu âgé, en bonne santé et heureux ! Et cette image, peu importe ce qu’elle est, une projection de mes espoirs, une vision du futur, une aberration créée par mon cerveau, cette image m’a permis de traverser tant bien que mal tous les moments difficiles qui s’en sont suivis.

Car une fois cette folle chevauchée de l’esprit dont la durée est d’approximativement 5 à 6 heures, durée qui sur le moment semble interminable et qui, une fois terminée, semble n’avoir été qu’un instant, après ce moment vient l’éternelle descente. Une descente au cours de laquelle vous ne souhaitez qu’une seule chose, que ça s’arrête, pouvoir dormir, une descente au cours de laquelle vous voyez le jour se lever une première fois, la nuit se coucher, le soleil apparaître pour une seconde fois. Durant tout ce temps, vous n’attendez que de pouvoir enfin vous retrouver vous-même, chaque minute semble être des heures, chaque heure des journées, et chaque jours des siècle. De toutes les produits que j’ai consommé, la descente d’iboga est sans conteste la pire de toute, c’est une descente à laquelle personne ne peut être préparé, c’est une descente sans fin dans un trou intemporel, une horreur !

Durant cette première expérience, en début de descente, mes jambes ont commencé à me faire souffrir. C’était le signe qu’une seconde prise d’iboga serait nécessaire pour chasser la méthadone de mon corps. Lorsque Catherine me livra son diagnostic, ma réaction fut sans équivoque, il était exclu que je revive cela, tant pis pour mes douleurs, tant pis pour mon addiction, mais surtout, ne me redonner pas d’iboga. Cela prouve une chose, l’iboga n’est pas ludique ! Seul une personne n’ayant jamais fait cette expérience peut s’en réjouir.

Durant une semaine, Bilal me soigna avec de faibles doses d’iboga quotidienne. Ces doses étaient trop faibles pour avoir un effet psychédélique mais elles me permettaient de me sentir plus confortable. Après quelques jours, une fois le traumatisme passé, je reconnu qu’il valait mieux vivre deux fois cette expérience plutôt que de rester dépendant. J’acceptais donc de reprendre une seconde dose qui, par chance, fut plus faible compte tenu de l’accumulation d’iboga ingéré durant la semaine.

La seconde dose fut plus douce, les visions plus belles et plus agréables, mes maux de jambes disparurent et en-dehors de cette affreuse décente de 30 heures, je dois reconnaître qu’il m’a été plus facile de gérer cette deuxième expérience. Après avoir finalement réussi à dormir, je n’avais plus de douleurs. Seule un fatigue extrême persistant mais jours après jours, je me sentais mieux, je revenais à un cycle normal et surtout, j’avais le plaisir de constater que je n’avais plus besoin d’aucun produit pour fonctionner normalement.

Non seulement l’iboga m’a permis de me libérer des opiacés mais elle m’a aussi permis d’arrêter de fumer. Un bonus de qualité dira-t-on. Aujourd’hui, cela fait 3 semaines et demie que je vis sans tabac et sans opiacés. Non seulement je me sens bien physiquement mais en plus, je n’ai pas à faire face à des envies, des tentations, je me sens libre ! Je surprends les médecins, les pharmaciens, personne ne s’explique comment j’ai pu me sevrer si vite et aucun d’entre eux ne connaît l’iboga. Mon pharmacien a montré un vif intérêt pour cette plante tout en m’avouant qu’avec un tel effet, il devait y avoir beaucoup trop d’industriel à qui il profite que cet arbre reste inconnu.

Pour terminer ce témoignage, j’aimerais insister sur la qualité de la prise en charge de Catherine et Bilal, sur leur gentillesse et sur tout l’amour qu’ils mettent à vous guérir. Bilal et Catherine est à mon humble avis, sans conteste, les meilleurs accompagnateurs qu’on puisse espérer pour traverser cette expérience. Ils vous comprennent sans vous juger, savent répondre présent lorsque vous en avez besoin tout en vous laissant l’espace nécessaire à supporter les sensations désagréables que vous vivez, je les ai trouvé exceptionnel !

Aujourd’hui, bien que les ayant quitté depuis plus de 10 jours, ils ont régulièrement repris de mes nouvelles, se sont réellement inquiéter de mon sort et j’avoue que de lire leurs messages réchauffent mon cœur. Nous ne nous connaissons pas très bien mais je les considère comme de véritables amis. Ils ont su être là pour moi lorsque j’en avais besoin et ils ont surtout su être là pour moi comme j’en avais besoin ! Je ne les remercierai jamais assez pour ce qu’ils m’ont apporté.

Le meilleur que je puisse souhaiter aux personnes qui traversent ce que j’ai traversé, c’est de croiser le chemin de Bilal et de Catherine.

Merci à eux, courage à vous !


Bilal Hello, Hello Catherine

How are you?

Today I returned to work. I feel good, I feel free! I‘m so happy … This morning I went to see the pharmacist who gave me methadone. I explained to him why he had not seen me for three weeks and I told him about iboga.

It is a pharmacist but it is for alternative medicine. He did not know iboga and asked me lots of questions. After I had told him about my experience, he said that this should please a lot of people that this plant is not known. He told me clearly that the drug industry was horrible and that we should not be surprised that she prefers to keep the sick people.

In short, it was great! He encouraged me to stay and to take nothing for chemical and he told me he would research the Iboga.

I’ll still see the doctor this week to tell him what I think of his shit methadone. I discovered 60 mg in a cupboard at home. I am delighted to bring him and to tell him that even if that took me a week, I have not had once wanted to take!

Amicaliement
Lucas

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